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La résistance de Jean-Pierre Lanfranchi
16 novembre 2012

L Equipe

1983, Jacques Peyrat vient me chercher. Je suis alors gérant d'un salon de coiffure à Nice, ils seront au nombre de 7 en 1985.

Peyrat me propose de m'occuper du service sécurité et affichage du Front National des Alpes Maritimes. Je mène cette mission sept années durant avant d'en laisser la responsabilité à mon ami Gilbert Pigli, cher à mon coeur et aujourd'hui disparu. Je n'en regrette absolument rien, rien de ces sept années que j'ai donné au Front National. Je n'ai jamais voulu ni place éligible, ni honneur. Je l'ai fait par conviction politique.

J'ai une pensée pour tous mes amis trop tot disparus qui furent alors à mes cotés, dont le Docteur Calendini qui fut mon vice-president dans le comité de quartier le Port-Riquier-République à Nice.

Quant à Peyrat, s'il fut d'une grande honneteté dans le cadre de ses fonctions, il fut absent quand l'ami en eut besoin.

Je pense souvent au Docteur Moulin, à l'inspecteur divisionnaire Vouret, ainsi qu'a Titou Peyron patriote de la première heure, qui furent des hommes estimables et mes amis.

Je pense souvent au brillant avocat et batonnier Gérard Gubernatis que j'aime beaucoup.

La prochaine fois je vous parlerai de Jean-Marie Le Pen.

 

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